Crépuscule s’inspire de deux livres écrits par le philosophe écrivain Yuval Harari Noah. Sapiens : une brève histoire de l’humanité qui décrit la façon dont les humains ont conquis le monde par leur capacité unique de croire à des mythes collectifs. Homo Deus : une brève histoire de l’avenir qui offre une vision de ce que le monde deviendra quand ces mythes s’allieront à des nouvelles technologies démiurgiques.

Crépuscule est ce moment situé entre le passage de l’Homo sapiens et l’Homo Deus, cette transformation de l’homme et ce moment où une contre évolution ou une révolution est encore possible pour que l’homme ne devienne pas esclave de ses propres créations.

Sur scène, cinq danseurs se livrent à une interprétation de ce monde qui évolue trop vite pour que nous puissions prendre le temps de l’analyser. Un monde où croyance et vérité sont, en grande partie, basées sur l’information souvent manipulée et diffusée à outrance, servant les intérêts d’individus égocentriques, assoiffés de pouvoir et de domination au point de pas considérer les conséquences de leurs actes. Même si tout doit s’écrouler ?