"Love" est une superficie lumineuse, sans profondeurs cachées. Aucune manoeuvre d’éblouissement, mais une élucidation de l’activité du regard et des ressources de l’imaginaire. Ce ne sont pas des images que l’on peut voir dans le bleu électrique de "Love", mais de l’image. En puissance, en vertu. Voir de l’image dans l’épaisseur même du visible, dans la densité du geste, là où se lovent les figures, les ressemblances et les métamorphoses, les visions en excès sur les regards, le propre du théâtre.