Il y a certes un décor, un rectangle bleu ciel dans la Chapelle des Pénitents blancs et quelques bocaux transparents échappés d'un cabinet anatomique, attendant on ne sait quels monstres. Il y a certes des sons, une atmosphère, une scène, tous distillant une inquiétante étrangeté. Mais l'essentiel de cette proposition réside dans le seul corps qui bouge, se transforme, s'oublie devant nous, au centre des regards.