Dans Rouge, tout bouge, sauf la couleur, explorée sous toutes ses nuances. Ça bouillonne, ça foisonne. Sur le plateau, l'accumulation de ce qui porte la couleur du sang, de la honte, de l'émotion comme de la révolution se fait délire, crise incessante, engendrant la multiplication des objets, des vêtements, des aliments, des babioles, des verres, rythmée par les actions de l'artiste et ses interrogations soudaines.