y’a-t-il la nécessité d’un « réalisme absolu» pour une mise en scène de « Les Travaux et les Jours » ? L’ironie indispensable du décalage. Michel Vinaver évoque la mise en scène, au Mans, de Monique Hervouët, plus « abstraite » ; notions de « concret » et d’ « abstraction ». La mise en relief des décalages à l’intérieur de la pièce. Michel Vinaver prend l’exemple du traitement de « la cloison » demandée par les employés de l’usine, pour séparer les services de réclamation et de facturation, dans sa pièce : La cloison comme support symbolique pour les personnages des « Travaux et les Jours » de leur identité. Problématique : faut-il souligner ou au contraire laisser respirer les éléments du réel, et ses décalages ? ou laisser le spectateur opérer librement les connexions ? L’économie du discours chez les personnages dans « Les Travaux et les Jours ».
Détail de la vidéo
- Langue : français
- Durée : 6 minutes 1 seconde
- Lieu : Théâtre-Ouvert
- Copyright : Théâtre Ouvert
- Ajoutée le 07/02/2004
À propos de...
- Auteur(s) : Michel Vinaver,